Vision interviewe Kevin Bales, le président de l'organisation Free the Slaves, basée à Washington DC, et professeur de sociologie à l'université de Roehampton à Londres.
« La vérité trébuche sur la place publique, disait un prophète des temps anciens à son peuple. » Il aurait tout aussi bien pu parler du monde d’aujourd’hui.
Qu'est-il arrivé à la différence entre le bien et le mal ? L'humanité a-t-elle le droit de définir voire d'abandonner les valeurs morales selon des préférences personnelles ?
Il est devenu de plus en plus difficile de maintenir des standards personnels de moralité et de caractère, et d’enseigner à nos enfants pourquoi la moralité est importante.
Sommes-nous vraiment d’aussi bonnes personnes que nous aimerions le penser ? D’ailleurs, les autres sont-ils aussi méchants que nous avons tendance à le croire ?
La monnaie virtuelle numéro 1 dans le monde fait les gros titres, mais reste mal comprise ; le moment est peut-être bien choisi pour revenir sur ses origines, l’instabilité de son cours, sans oublier ses implications environnementales surprenantes.
On dit souvent que c’est l’avidité qui fait tourner le monde. S’il n’est pas toujours facile de lutter contre ce penchant si naturel chez l’être humain, les bénéfices qui en découlent sont considérables.
Autrefois, on voyait dans les épidémies l’expression de l’implacable colère divine contre la nature pécheresse des hommes. Puis vint la science moderne...
L’islam ressemble à un puzzle pour la plupart des Occidentaux. Dans le contexte de « l’après 11 septembre », beaucoup voudraient mieux comprendre cette grande religion. C’est pourquoi Vision a interrogé Malise Ruthven, expert reconnu du monde arabe.
Le combat que mène la Russie pour obtenir une identité nationale jette de la lumière sur notre propre besoin de savoir qui nous sommes et ce qui est attendu de nous. Comment développer un sens de l’identité, que ce soit en tant que nation ou en tant qu’individu ?
Hiver 2007
Messies ! Gouvernants et rôle de la religion, Partie 8
Adolf Hitler et Benito Mussolini ont exhalé leurs prétentions messianiques bien avant d’avoir atteint le pouvoir absolu et, par la suite, ils ont volontiers accepté la divinité que leur peuple en adoration leur a conférée.