Vision propose une critique de l’ouvrage de Donatella Di Cesare intitulé Resident Foreigners et publié en 2020, dans lequel elle met en avant une nouvelle philosophie des migrations.
Trois historiens entreprennent de revisiter minutieusement l’un des empires du monde antique, tout en encourageant les lecteurs à porter un autre regard sur des faits et interprétations admis de longue date.
L’observation des deux derniers millénaires de guerres quasi continuelles laisse supposer que le conflit violent est un facteur inévitable dans la sphère de l’humanité.
Lorsque David Ben Gourion proclama la naissance de l’État d’Israël en mai 1948, qui aurait pu prévoir que le conflit israélo-arabe ferait encore les gros titres 60 ans plus tard ?
Généralement parlant, la philosophie politique israélienne suit deux grandes écoles de pensée : premièrement, le sionisme politique de Theodor Herzl et sa synthèse ultérieure dans le sionisme politique et de socialisme pratique de Chaim Weizmann et David Ben Gourion ; et deuxièmement, le sionisme révisionniste de Vladimir Zeev Jabotinsky.
Messies ! Gouvernants et rôle de la religion s’intéresse à l’avènement récurrent de dirigeants despotiques à travers l’histoire, en étudiant comment leur quête de domination les a amenés à se donner une forme divine. Mais le monde en a-t-il fini avec ces hommes-dieux ?
Compte tenu de la propagation du totalitarisme et du communisme au XXe siècle, il n’est pas surprenant de trouver des cas d’ambition politique messianique dans l’Asie orientale moderne, ni de découvrir que le culte de ses gouvernants a des précédents locaux.
À Pékin en juin 1975, Mao reçoit Pol Pot, son « protégé », chef des Khmers rouges cambodgiens, afin de le féliciter d’avoir mis en place directement un communisme radical.
Si Pol Pot (1925-1998) n’est que le faux messie éphémère du Cambodge, il n’y a rien de passager dans l’héritage nord-coréen de Kim Il-sung (1912-1994).
David Hulme, éditeur de Vision, parle de l’Holocauste avec trois historiens et un cinéaste. Comment l’Holocauste a-t-il pu avoir lieu, et une chose semblable pourrait-elle à nouveau se produire ?
Alors que le monde entier commémorait en 2005 les soixante ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, Vision a examiné la montée au pouvoir de Hitler, la cruauté sans précédent qu’il déchaîna, et les leçons à ne pas oublier.
Le jeune Yoshitaka Kawamoto, âgé de treize ans, était à l’école avec ses camarades lorsque, le 6 août 1945, la première bombe A fut lâchée sur Hiroshima, ville située au sud du Japon. Kawamoto, l’un des rares survivants de cet enfer – son école était située à 800 mètres de l’épicentre – a grandi et est devenu directeur de Musée du mémorial de la paix.