Jusqu’à quel point un individu peut-il maîtriser les circonstances de son décès ? L’autonomie personnelle absolue est-elle, même dans la mort, l’aspect le plus important de la vie ?
Il y a peu de temps encore, l’on considérait généralement que l’homme était incapable de produire de nouvelles cellules du cerveau après la petite enfance.
Alors que la neuroscience développe des tests pour déterminer des traits psychologiques particuliers et des prédispositions médicales chez les individus, les éthiciens se demandent quel est le cadre moral qui va régir cette information.